Le 23 avril, je relevais une journée partagée entre enthousiasme et barbarie. Selon le choix ou la censure de chacun, la bonne nouvelle pouvait couvrir sinon étouffer la très mauvaise ! Le courant biphasé des informations passait du plus au moins mais hélas surtout au moins...
Ce 5 mai, point d’alternative similaire. Entre la série Covid avec ses épisodes gouvernementaux et le nouvel assassinat d’un policier, peu d’issue vers un refuge salutaire. Ce n’est pas la célébration de la mort de Napoléon , sujette à polémique ou encore moins les tribulations politiques d’un Muselier et son complice Estrosi en région PACA, qui permettent l’exil de l’esprit vers des décors enthousiasmants…
Reste le ciel pour ceux qui lèvent la tête au dessus du bourbier social .
Le succès tardif mais désormais avéré du Rafale à l’export réjouit les chauvins, mais surtout Dassault et les nombreux sous-traitants d’une industrie tricolore qui n’a jamais perdu sa réputation.
Les superbes photos de la Terre que nous envoie Thomas Pesquet sont un antidote paradoxal au climat terrestre. Durant les six mois de son nouveau séjour en orbite, il va réjouir petits et grands de ces images somptueuses ou pittoresques.
Un souhait pour lui et le monde : que la pandémie soit vaincue et notre planète aseptisée, lors de son retour parmi nous.
Et la France, enfin sécurisée ?...
