Il existe en réalité deux « troisième dimension ». Celle du ciel est bien connue depuis l’exploit du 21 novembre 1783 , avec le ballon de Pilâtre de Rozier s’élevant sous les regards médusés des parisiens. Un siècle plus tard, encore en France, un certain Clément Ader réussi à faire succinctement voler une machine appelée « avion ».
Si d’aventure il faudra attendre décembre 1903 pour un véritable vol contrôlé avec les frères Wright aux États-Unis, l’« aviation » est bien née chez nous..
Depuis, au delà du ciel proche très familier, l’espace lointain, l’univers, dévoile ses secrètes turbulences et magnificences avec le télescope spatial James-Webb qui n’a pas fini de nous surprendre !
Concernant les profondeurs marines, pourtant beaucoup moins distantes, les explorations sont paradoxalement plus récentes et encore bien incomplètes.
Dans l’actualité du moment, le Salon aéronautique du Bourget, retrouvé après 4 ans de silence , cause Covid, remue ciel et terre avec des présentations et des annonces percutantes , dont la gigantesque commande de 500 Airbus A320 par une compagnie indienne !
Tiens, les verts ne réagissent pas ?
Mais je veux rester ici dans les petits bruits et modestes informations concomitantes.
Coté avions de chasse, le programme tripartite SCAF ( France, Allemagne, Espagne) connait un nouveau pays intéressé, la Belgique , avec le fort encouragement de Macron. Une fois !
Quant à notre beau Rafale, écarté quasi unanimement des forces aériennes en Europe par le F35 américain ( le cher parapluie de l’Oncle Sam), il connaît désormais un surcroît d’intérêt.
Revanche !
Coté submersibles, l’Australie et les 8 sous-marins d’abord commandés en France et qui nous a fait un vilain pied de nez salé grâce à Tonton Biden et son complice Grand-Breton, voici qu’elle ne peut finalement les construire tous au pays et qu’elle passera à la caisse d’achats directs.
Well done les Kangourous !
Un autre nouvelle plus triste relate la disparition d’un petit sous-marin, le « Titan », en exploration touristique dans les abysses du « Titanic », avec cinq personnes à son bord, dont l’océanaute français Paul-Henri Nargeolet, familier du paquebot maudit.
L’Océan plus dangereux que le lointain cosmos?
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