La crise financière mondiale aura provoqué des rencontres multiples et croisées entre responsables politiques, grands argentiers, agences internationales et probablement émissaires plus discrets, de New York à Bruxelles et de Paris à Shangaï.
Le dénominateur commun de ces réunions inopinées est cette lettre lapidaire "G" à laquelle s'accrochent des nombres qui croissent en même temps que les bourses dépriment en cascade.
Depuis le G4 qui flattait naguère notre égo de citoyens d'une nation riche, jusqu'au G20 qui dilue aujourd'hui chacun dans le magma de la faillite potentielle, et pour prévenir le G193 qui verrait s'asseoir le monde entier à la table de la soupe populaire, les responsables les plus offensifs sont à la recherche du Gx qui serait la clé et le nombre d'or de la fin de crise..
Alors que les USA seront en vacance de vrai pouvoir durant deux mois et que l'urgence reste pressante, qui de l'Europe, du FMI ou de la Chine trouvera ce nouveau Graal?