Et si Nicolas Sarkozy était plus rusé que nous tous ? Et que ses brutales inspirations ne soient au fond que les leurres centrifuges d'un miroir aux alouettes, réussissant à éblouir même les observateurs les plus objectifs ?
Pendant que le débat, l'opinion , les médias et l'opposition s'époumonent sur ses saillies provocatrices, la rupture peut se poursuivre à l'abri des paravents de la contestation. On parle de l'écume mais on oublie le bouillon…
Dernier exemple: le reformatage des programmes scolaires qui devraient passionner la France au premier chef, complètement occulté par l'"Affaire de la Shoah".
Je scrute avec acuité l'Élysée pour tenter de trouver les indices de la vérité?…