Après sa prestation télévisée, Nicolas Sarkozy confirme l'adhésion des français à ses objectifs de réforme de l'Etat et la société . Mieux encore, il semble que l'essentiel de son soutien vienne des couches dites populaires.
Le "dangereux" candidat devenu président recueille en outre la confiance de la moitié des électeurs de gauche et d'une belle majorité des bayrouistes…
Dans ce contexte, les porte-voix de l'opposition font sourdine, excepté le petit facteur qui crie d'autant plus fort que son paysage se désertifie.
Quant aux syndicats, prêts à en découdre avec un mois de préavis, (attention, je vais m'énerver!) le carrousel des réformes brouille leur vue et menace de les mettre K.O. avant le premier round!