Covid-19 nous alloue subitement du temps pour communiquer. D’ailleurs, je le constate déjà ici-même avec le lectorat qui augmente, la disponibilité de chacun devenant , hélas, plus grande.
J’ai décidé , profitant de cette réclusion obligée, de faire un petit billet plus fréquent, relatant des anecdotes , constats éphémères ou sentiments du moment.
Sans tomber dans la logorrhée exponentielle ou l’outrance narcissique qui caractérisent et saturent les réseaux sociaux, je vous invite, fidèles lecteurs ( trices) à vous exprimer vous-mêmes sur ce blog.
Facile, je rappelle, en cliquant sur « commentaires » au bas du texte .
Mon propre écho du jour :
Je suis sorti à vélo, muni de mon papier de laisser-passer ad-hoc, coché à la dernière et cinquième case, m’autorisant une activité physique individuelle.
Pendant ma balade , je n’ai pas vu plus de cinq véhicules. Une impression de grand calme dominical comme dans une cité retirée de province .
J’ai croisé moins de dix personnes, mais sur ce contingent de promeneurs, trois m’étaient familiers ou amis ! Et vice_versa.
Avec la première rencontre, notre discussion ( à bonne distance) fut interrompue par l’injonction de dispersion d’une patrouille de police véhiculée, passant opportunément au même instant !…
Je n’ai pas eu à montrer ma déclaration du jour, pourtant dûment renseignée, les policiers ne l'ayant pas requise et s'en tenant à de fermes conseils à distance...