Mon candidat à été défait, qui était pourtant une nouvelle candidate répondant ainsi à ce renouvellement tant espéré et à la parité tant sublimée.
Mais son handicap énorme était son étiquette LR.
Elle n'est pas la seule dans ma circonscription ( 7ème de l'Hérault), le sortant PS à été violemment sorti, bien que se représentant pourtant sous triple label, après avoir navigué chez Peillon, puis Hamon et se retrouver comme un c.. !
Et il est inutile de mentionner le sort des 13 autres concurrents, par pure charité républicaine.
Ah, l'ingratitude citoyenne!...
Un candidat tombé du ciel des Pyrénées orientales, jamais vu avant le premier tour, dont la seule référence est une rue du même nom dans la cité méditerranéenne de Sète est en ballottage (très peu) favorable face à une blonde du FN.
Mare d'être dans le bleu avec un candidat sorti du néant. Je vais voter céans pour un concurrent du troisième type, le Blanc. Face aux quolibets et autres critiques mal documentées, je renvoie à cette définition qui devrait rameuter les abstentionnistes dépités :
«le blanc est d'un point de vue optique la synthèse chromatique de toutes les longueurs d'onde visibles (couleurs). Ce qui explique sans doute le sens qu'on lui accorde en Occident : celui de l'unité, de l'équilibre parfait»...
Quant à Euzet, le candidat parachuté, il sera peut-être usé avant de s'en servir?...