Tout va bien, la République est ( pour l'instant) entre de bonnes mains, oublions pour un peu les lendemains. Jusqu'au 11 juin prochain...
Me revient soudain l'aventure de notre jeune astronaute toulousain.
Thomas Pesquet, embarqué le 17 novembre 2016 à bord de la station spatiale ISS doit rejoindre la Terre le 2 juin prochain, ayant bénéficié d'un petit délai, lui qui disait ne pas vouloir redescendre, le bonheur étant extrême à 400 km du plancher des vaches...
A-t-il pour autant oublié les contraintes et devoirs terrestres ? Que non ! On sait qu'il a donné procuration avant de partir en vue des élections présidentielles. Il ne pouvait préciser alors son choix à son ( sa?) mandataire . Je suppose qu'il a pu le communiquer en message crypté à l'échéance finale et décisive ?
Aura-t-il voté pour Macron ? J'imagine que oui , l'image globale de la Terre lui inspirant une universalité qui marque le jeune président, même si à l'altitude des urnes elle se résume à ouverture à l'international.
Creusant les pedigrees de ces deux vedettes du moment, bien que l'une, la terrestre soit beaucoup plus médiatisée que la seconde , l'aérienne, d'étranges concordances ou symboles apparaissent.
Emmanuel Macron est né le 21 décembre 1977 à Amiens. Thomas Pesquet arrive le 27 février 1978 à Rouen. 68 jours après son aîné et à 100km seulement de lui...
Par comparaison, Tulle , ville de retraite (??) de François Hollande est distante de 400 km de Paris, soit l'altitude moyenne de la station spatiale. Celui qui est désormais en orbite politique loge dans la grandiose station Élysée, certes encore en apesanteur sociale, mais sans doute pas pour longtemps !..
Durant son séjour circomterrestre, Thomas aura effectué environ 3150 révolutions autour de notre planète, soit autant de levers du jour. Un calcul rapide et hasardeux assimile cette performance à 8,7 ans.
À son retour Thomas aura donc rejoint l'âge du premier ministre!
Mais je ne jurerais pas que mon calcul honore la théorie d' Einstein sur l'espace-temps...