Il aura fallu trois ans pour que les otages français détenus au Sahel soient libérés !
L’étendue du territoire, l’incertitude sur les lieux de détention, les transferts vers des organisations différentes, la nomadisation des geôliers, la séparation des prisonniers furent sans doute autant d’obstacles qui rendirent les négociations longues et délicates par les voies tortueuses et incertaines de la diplomatie souterraine.
Comme c'est l’usage hautement réaffirmé par les autorités autorisées, il n’a pas été versé de rançon par l’État français, sauf en cette circonstance exceptionnelle pour les facilitations des canaux et intermédiaires obscurs, nécessitant primes et récompenses, ne serait-ce que pour les frais de logistique engagés dans une étendue désertique…
À l’Élysée, un autre otage est retenu depuis 17 mois par les forces vives et brutales d'une démocratie dévoyée qui l’a saisi à son corps électoral défendant, alors qu’il œuvrait avec constance et candeur au bonheur et la prospérité de la Corrèze. Il serait civique que les medias rappellent cette épreuve chaque mercredi, comme ils le font pour les prisonniers extérieurs.
François Hollande est aux mains des bandes identifiées portant tenues de combat vertes, rouges et fuchsia qui l’obligent sous la menace à faire de nombreuses déclarations contradictoires et parjurer ses promesses.
Appelons-en fermement aux entremetteurs de Bercy, commandités par ces terroristes qui nous ont déjà voracement dépouillés depuis son enfermement à la prison parisienne. Les rappels incessants faisant sans cesse monter les enchères d’une libération conditionnelle alors que les citoyens s’épuisent en dons obligés, sont devenus insupportables !
Bientôt les bourses seront taries et l’issue de cette réclusion restera incertaine, sauf une réaction violente des Français, humiliés ou ulcérés par cette situation.
Libérez Hollande, le pays a largement acquitté la rançon !