Il faut beaucoup de tolérance pour supporter le charivari des universités et la fronde des contestataires, étudiants et associés!
En d'autres temps heureux , on se sentait redevable envers la République de sa générosité. Avoir le privilège de poursuivre des études aux frais de la nation vous obligeait. En premier lieu au succès! Eventuellement à apporter en retour à la communauté une valeur ajoutée qui pouvait l'enrichir.
Désormais , il semble que la proposition soit inversée: le Pays doit tout à ses jeunes qui ont même le loisir d'emprunter dans leur cursus des voies totalement bouchées. L'assistance publique pourra toujours pourvoir à la "crise des emplois"!
Quelques franc-tireurs d'un autre âge, s'astreignent à des prépas, bossent dans des grandes écoles, obtiennent des diplômes, trouvent des emplois rémunérateurs et payent des impôts. Ce sont des "privilégiés" qui n'hésitent pas à recourir à des réseaux pour avancer ou aider leurs pairs!
Heureusement , ils sont une minorité invisible. Ils se cachent dans leur bureau ou s'expatrient sous des cieux accueillants. Ils ne troublent pas les "rêve-parties" estudiantines…