Pour qui se prend donc Ségolène Royal au soir du premier tour des municipales?
Dans sa logorrhée verbale coutumière et se croyant encore en campagne présidentielle, elle ose traiter le gouvernement d'"incapable" et c'est tout juste si elle n'appelle pas à la République en danger!
L'outrance de ses propos atteint l'outrage et toute autre tribune n'aurait pas supporté ses excès diffamants. Le commentaire politique a bon dos qui autorise l'affirmation gratuite et la perversion du langage! J'imagine la réciproque, si un membre du gouvernement profitait d'une amplification médiatique pour dénoncer son incompétence de présidente de région?
Si la situation est si désespérée, pourquoi diable n'a-t-elle pas signé l'appel à la Vigilance républicaine, comme son camarade B. Delanoé? Probablement parce qu'elle n'aime pas le partage de la scène, surtout avec son meilleur ennemi de 2012?
A-t-elle remarqué combien les candidats de son parti ont plutôt modéré leurs commentaires, à l'instar de son ex-compagnon qui, lui, avait quelque raison de parader...
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