Les grandes aspirations ( version libérale ) ou craintes (version collectiviste ) des français sont la santé, le logement, la vieillesse et l'éducation, socle commun de la réussite ou de la symbiose.
Par une perversion de la solidarité nationale au fil du temps et des épreuves, ce qui est le plus cher aux français est devenu gratuit, ou s'accorde douloureusement de l'économie de marché (logement)…
Oser dire qu'il faut consentir un effort personnel, en somme se responsabiliser pour ce qui est le plus important dans la vie, relève du blasphème républicain, presque du crime contre l'humanité!
Et pourtant:
Quand la santé est gratuite, elle n'a plus de prix.
Quand l'enseignement est gratuit , il s'effondre.
Quand il n'exige pas de résultat il est une injure aux contributeurs.
Quand le logement est public ou social, il n'abrite que des "ayants-droit", pas "d'ayant- devoir".
Quand la retraite compte sur les autres , elle se paupérise!
Je vous quitte, je vais chez mon vétérinaire, faire soigner mon chien. A mes frais!
